Curiosity est en route pour le Mont Sharp pour étudier l’histoire de Mars

Curiosity a eu une actualité mouvementée sur Internet ces derniers jours. Désormais, il passe aux choses sérieuses.
Curiosity a été au centre des attentions des internautes ces dernières semaines. Plusieurs rumeurs mettaient en avant la présence d’un lézard, et même d’un rat sur la planète Mars. La Nasa n’a pas communiqué sur ce sujet, car il s’agirait en réalité d’un effet d’optique. Ce constat avait déjà été observé le 31 juillet 1976 avec la sonde Viking 1. Cette dernière avait pris un cliché de ce qui semblait être un « visage humain ». Après toute cette euphorie, Curiosity repasse aux choses plus sérieuses puisqu’il se dirige vers le Mont Sharp. Les chercheurs de la Nasa estiment que ce lieu pourrait renfermer de nombreux indices témoignant d’une vie passée sur la planète rouge.
Explorer la planète rouge
Curiosity se rend donc au Mont Sharp en rythme de croisière et les scientifiques de l’Agence Spatiale américaine ne savent pas combien de temps prendra ce voyage. Il se déplace lentement, mais la mission Curiosity a un objectif, celui d’explorer la planète Mars. Les chercheurs ont donc l’intention d’observer avec précision l’environnement pendant le voyage du rover. Ils pourraient peut-être découvrir quelque chose d’intéressant. Le point de chute se trouve donc au Mont Sharp, mais Curiosity pourrait tout à fait être en mesure d’effectuer des prélèvements sur la route.
L’histoire de Mars
Curiosity entame donc la seconde phase de sa mission. Le cratère de Gale a révélé de nombreuses informations. Les scientifiques de la Nasa ont pu en apprendre davantage sur cette planète. Le rover a trouvé un ancien lit d’une rivière. Ce dernier était donc une preuve que l’eau avait coulé sur Mars. Le forage de la roche John Klein a été prometteur puisque les résultats ont montré qu’à une époque l’environnement avait été favorable au développement d’une vie microbienne. Le rover a d’ailleurs effectué un autre forage et les résultats sont en cours d’étude. Ils devraient confirmer les premiers et peut-être transmettre de nouvelles informations. Désormais, Curiosity pourra étudier les différentes couches de roche du Mont Sharp qui pourraient dévoiler l’histoire de Mars.
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L’ATV-4 Albert Einstein transporte 2.6 tonnes de fret pour l’ISS

L’ATV-4 Albert Einstein sera lancé dès 23h52 depuis Kourou et se dirigera vers l’ISS pour ravitailler l’équipage de la station.
Ce 4e cargo automatique européen (construit par Astrium) a une particularité puisqu’il bat le record du précédent ATV Albert Einstein. Celui lancé ce soir depuis la Guyane sera le vaisseau spatial le plus lourd mis en orbite par une fusée Ariane. Le Centre spatial guyanais est donc prêt puisque le tir aura lieu dans la nuit de mercredi à jeudi et plus précisément à 23h52 (heure française). Après 60 minutes, le cargo européen (4.5 m de diamètre, 10 mètres de long) devra se séparer de son lanceur et se placera à une vitesse de 7600 m/s en orbite. À cet instant, les 4 panneaux solaires se déploieront et l’ATV-4 aura sa propre énergie.
Un ravitaillement, depuis 2008
L’ATV Albert Einstein rejoindra en autonomie l’ISS et sera en liaison avec le centre de contrôle basé à Toulouse. Il faudra tout de même attendre le 15 juin prochain pour que le cargo atteigne l’ISS. Sa masse ne devrait pas poser de problèmes puisqu’il devrait s’amarrer automatiquement en trois heures et demi grâce à un système de rendez-vous spatial automatique supervisé par Luca Parmitano (astronaute italien). À chaque fois l’ATV prend le nom d’une personne. Ainsi, le 9 mars 2008, c’était Jules Vernes qui avait rendez-vous, le 3 avril de la même année avec l’ISS. L’ATV Johannes Kepler avait été lancé le 16 février 2011, puis c’était au tour d’Edoardo Amaldi d’être envoyé le 23 mars 2012 dans l’espace. Albert Einstein ne sera pas le dernier, car, en juin 2014, ATV-5 Georges Lemaitre devrait être lancé.
2.6 tonnes de fret
En attendant, le cargo européen devrait revenir du côté de la Terre le 15 octobre 2013. Il est indispensable pour l’équipe puisqu’il apporte le ravitaillement. Il contient 100 kg d’oxygène, 565 kg d’eau potable, 860 kg de carburant, 4.8 tonnes d’ergols. Des pièces de rechange pour l’ISS et de nombreux objets seront transportés comme des pyjamas, des brosses à dents, des chaussettes, des denrées alimentaires… Les astronautes auront également le droit à des gourmandises comme des spécialités italiennes, du beurre de cacahuète ou encore des gaufres. Au total, l’ATV-4 Albert Einstein transporte 2.6 tonnes de fret.
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Exoplanète : HD 95 086 b est la plus légère photographiée depuis la Terre

L’exoplanète HD 95086 b a été photographiée depuis notre planète par le VLT (Très Grand Télescope) de l’ESO.
Cette exoplanète baptisée HD 95086 b a une masse estimée à 4/5 fois celle de Jupiter. Elle serait, selon les chercheurs, la plus légère jamais observée en dehors du système solaire. C’est une équipe d’astronomes de l’ESO qui a pu l’observer en utilisant le VLT. C’est un ensemble de 4 télescopes principaux et de 4 auxiliaires qui est installé dans l’Observatoire du Cerro Paranal au nord du Chili dans le désert d’Atacama. Grâce à une altitude de 2 635 mètres, les chercheurs peuvent étudier les astres avec des longueurs d’onde allant de l’ultraviolet à l’infrarouge. Le VLT avait pris la première photo d’une exoplanète il y a 9 ans. Il vient d’accomplir un nouvel exploit qui permet d’obtenir de précieuses informations sur l’évolution et la formation des systèmes planétaires.
Une température de 700 degrés
Cette exoplanète est située à 300 années-lumière de notre planète. La distance qui la sépare de son étoile est deux fois plus importante que celle entre le Soleil et Neptune. Les chercheurs indiquent également qu’elle est 56 fois plus importante que la distance observée entre la Terre et le Soleil. Cette observation a permis d’obtenir quelques informations notamment sur la température à sa surface. Elle serait de 700 degrés, du méthane et de la vapeur d’eau pourraient donc être observés. L’exoplanète serait âgée entre 10 à 17 millions d’années. Les chercheurs estiment qu’elle s’est « probablement formée au sein du disque de gaz et de poussière qui entoure l’étoile ».
Des planètes internes ?
L’exoplanète HD 95086 b a été découverte avec l’instrument d’optique NACO qui est installé sur l’un des télescopes. Les images obtenues en lumière infrarouge sont d’une très grande résolution. Prochainement, le VLT sera équipé de l’instrument SPHERE. Les chercheurs sont donc impatients d’observer l’exoplanète, car il pourrait peut-être révéler « l’existence de planètes internes dans le système, s’il y en a ».
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Curiosity : La mission habitée serait menacée à cause des radiations

Curiosity pourrait être à l’origine de l’échec d’une éventuelle mission habitée vers Mars. Le vol serait plus dangereux que prévu.
Curiosity suscite l’intérêt des scientifiques et des passionnés. Certaines sociétés privées ainsi que le gouvernement américain envisageaient déjà un vol habité en direction de la planète rouge. La Nasa a transmis de nouvelles données obtenues par le biais du rover. Le danger serait présent sur Mars, mais la situation serait bien plus complexe lors du vol. Ainsi, les Hommes seraient confrontés à un niveau de radiations beaucoup trop fort. Même s’ils possédaient le bouclier détenu par Curiosity, les personnes présentes dans le vaisseau ne seraient absolument pas protégées. Cette découverte remet donc en question un éventuel vol en direction de la planète rouge.
Un niveau plus élevé que prévu
L’Agence Spatiale américaine a donné un exemple qui permet de comprendre davantage le danger. Un aller-retour vers la planète mars reviendrait « à subir un scanner complet du corps tous les 5 ou 6 jours ». Le problème est assez conséquent, car la Nasa reconnaît que les connaissances dues à une exposition à de tels rayons cosmiques « sont assez limitées ». Avant de programmer une mission de ce genre, les scientifiques doivent connaître dans le moindre détail tous les risques auxquels les Hommes seront confrontés. Dans le cas contraire, la préparation ne sera pas optimale et le risque sera élevé.
Curiosity et son RAD
L’un des scientifiques de la Nasa estime que le niveau de radiations lors du vol favoriserait le développement de maladie cardiovasculaire. Les Hommes pourraient souffrir également de lésions à la cataracte. Pour rappel, un astronaute ne peut pas être exposé durant toute sa carrière à plus de 1000 mSv. Le vol aller-retour exposerait les passagers à 662mSv. Les dangers de cette mission vers Mars sont nombreux et il y a encore beaucoup de choses à accomplir pour programmer avec précision un tel projet. Rien n’est toutefois impossible, les scientifiques cherchent des moyens permettant de protéger les humains, mais Curiosity a donc compliqué davantage cette mission avec son RAD (Radiation Assessment Detector) qui est à l’origine de la détection des pics de radiation.
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L’astéroïde 1998 QE2 a frôlé la Terre et la Nasa relance le débat

L’astéroïde 1998 QE2 a frôlé la Terre vendredi soir. Il ne représentait pas une menace pour la Terre, mais la Nasa relance le débat.
L’astéroïde 1998 QE2 est passé à près de 6 millions de kilomètres de la Terre, il n’y avait donc aucun risque de collision avec notre planète. La Nasa souhaite tout de même relancer le débat concernant la surveillance des objets célestes. Le premier corps avait un diamètre de 2.7 km et sa lune mesurait 600 mètres de large. L’astéroïde avait donc la capacité selon les scientifiques de la Nasa de rayer une civilisation de la carte. Un tel caillou pourrait avoir des conséquences désastreuses pour notre planète et même sa lune pourrait entraîner la destruction d’une région entière. Le gouvernement des États-Unis et la Nasa ont donc profité du passage de l’astéroïde 1998 QE2 pour relancer le débat.
Renforcer la surveillance
Des milliers de corps célestes sont à proximité de la Terre et certains peuvent s’écraser sur notre planète. En février dernier, une spectaculaire explosion s’était produite du côté de la Russie. L’astéroïde n’avait pas été repéré par les instruments et il avait donc créé la surprise en détruisant de nombreuses habitations. L’administration d’Obama a donc attribué un budget de plusieurs dizaines de millions de dollars pour que les scientifiques développent des outils performants. Le gouvernement américain souhaite également mettre au point diverses techniques pour dévier ou capturer un astéroïde. L’objectif premier est de neutraliser une éventuelle menace, mais les chercheurs pourraient également s’en servir pour optimiser la conquête de l’espace.
200 000 astéroïdes repérés ?
Avant le passage de l’astéroïde 1998 QE2 à proximité de la Terre, la Fondation B612 a expliqué qu’elle développait de son côté un télescope spécifique baptisé Sentinel. Il devrait être mis en orbite dès 2017 à 273 millions de kilomètres de notre planète. Il aura la lourde tâche de protéger la Terre en cartographiant le système solaire, il pourrait ainsi repérer près de 200 000 astéroïdes dès la première année de mise en fonctionnement.
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Astéroïde 1998 QE2 : Soyez au rendez-vous, il frôle la Terre à 22h59

L’astéroïde 1998 QE2 vous donne rendez-vous ce soir à 22H59, il sera à une distance de 5.8 millions de km de la Terre.
L’astéroïde 1998 QE2 est traqué par la Nasa depuis plusieurs années. Il faudra être au rendez-vous puisqu’il ne reviendra pas à cette distance avant deux siècles. Ce n’est pas la première fois qu’un tel caillou vient frôler la Terre, mais l’Agence Spatiale américaine souhaite observer avec rigueur sa progression. Pour rappel, 9500 objets célestes croisent notre planète et celui-ci avait été repéré le 19 août 1998. Ce sont des astronomes du MIT qui l’avait découvert. Comme à chaque fois, il sera possible de suivre sa progression. Le plus simple consiste à se rendre sur le site Slooh.
Des images de haute résolution
L’astéroïde 1998 QE2 fait l’objet d’une retransmission. Vous avez sur la droite du site Internet un compte à rebours qui vous renseigne sur le début du direct. L’Agence Spatiale américaine avait dévoilé des images de cet astéroïde où deux formes sont visibles. La première est blanche et correspond à sa lune qui a un diamètre de 600 mètres. La plus sombre correspond au premier corps qui a un diamètre plus important de 2.7 kilomètres. Grâce au télescope d’Arecibo situé à Porto Rico, les scientifiques espèrent qu’ils pourront obtenir des images de haute résolution. Ces dernières permettraient de connaître un peu plus en détail l’astéroïde.
La fiche d’identité de l’astéroïde
L’astéroïde 1998 QE2 offre ainsi à la Nasa une nouvelle chance d’observer un corps céleste qui s’approche de la Terre. Les scientifiques pourront déterminer sa forme, sa rotation, sa taille et connaître ses caractéristiques. Selon un astronome du Jet Propulsion Laboratory de la Nasa, les scientifiques utiliseront de nouvelles mesures, elles permettront de « réévaluer sa distance par rapport à la Terre et sa vitesse ». L’ensemble des données améliorera les calculs de sa trajectoire future et de son orbite. Il sera donc au plus près de notre planète à 20H59 GMT, soit 22h59.
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Curiosity : Sa mission de 281 jours condensée en une vidéo d’une minute

Curiosity n’a pas encore fêté sa première année sur Mars, mais Karl Sanford a décidé de lui rendre hommage avec une vidéo.
Curiosity a débarqué sur la planète Mars en août dernier. Après quelques mésaventures et notamment une panne très contraignante, le rover de la Nasa répond toujours présent après 10 mois. Le programme de la mission a été chargé depuis son amerrissage, il a parcouru près de 700 mètres. Certes, la distance n’est pas très impressionnante, mais le robot est lourd, il doit donc se déplacer doucement pour limiter les dommages. Il y a quelques mois, il a pu forer la première roche et les résultats ont été très prometteurs. Après avoir découvert un ancien lit d’un ruisseau, les scientifiques de la Nasa sont en mesure d’indiquer que l’environnement était favorable au développement d’une vie sur Mars.
Curiosity reprend sa mission
La mission n’est pas terminée, il y aura sans aucun doute d’autres découvertes et davantage de photos. Un fan de Mars et du rover a décidé de compiler un nombre assez impressionnant de clichés. Dans une vidéo d’un peu plus d’une minute, les internautes peuvent ainsi retracer les 281 jours. Pour rappel, la Nasa transmet régulièrement des photos du rover qui a repris ses activités sur la planète Mars. À cause de l’alignement de la Terre, le Soleil et Mars, le rover s’est retrouvé seul puisque les communications étaient perturbées.
Curiosity fait un 2e forage
Curiosity continue donc sa mission et tente de rassembler toutes les preuves attestant d’une vie sur Mars dans le passé de la planète. Un deuxième forage a donc eu lieu dans la région baptisée Yellowknife bay. Cette fois, la profondeur était de 6 centimètres et la largeur de 2 centimètres. Il faudra patienter quelques jours pour découvrir les résultats qui devraient confirmer ceux obtenus lors du premier forage. Par la suite, Curiosity sera amené à reprendre son voyage pour aller découvrir le centre du cratère. Le rover de la Nasa doit encore parcourir plusieurs kilomètres.
Les 281 jours de Curiosity
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Satellite équatorien NEE-01 Pegaso : Vidéo de sa première transmission

Le satellite équatorien NEE-01 Pegaso avait coûté 80 000 dollars. La collision avec des débris a été fatale, il est inutilisable.
Le satellite équatorien NEE-01 Pegaso avait été placé en orbite le mois dernier. Il écrivait une nouvelle page dans l’histoire de l’aéronautique, il permettait également à tous les internautes de contempler en direct la Terre. L’évènement était tellement important que l’EXA (Agence civile spatiale équatorienne) avait proposé à tous les habitants de se connecter sur une page spécifique. Il était donc possible de contempler les premières images transmises par le satellite NEE-01 Pegaso. Aujourd’hui, elles sont disponibles sur la plateforme YouTube.
Un petit satellite
Pour arriver à ses fins, l’Équateur avait mis les moyens pour développer ce projet. Une société privée avait misé près de 80 000 dollars pour la conception. L’État avait ensuite pris le relais en payant les divers essais. La somme investie par le gouvernement était de 700 000 dollars. Les premières transmissions fonctionnaient parfaitement. Depuis moins d’un mois, il observait ainsi la Terre, mais malheureusement le seul satellite équatorien a heurté des débris. L’engin est petit puisqu’il pèse 1.2 kg. La collision a donc été fatale puisqu’il ne peut plus être utilisé. L’Équateur dispose toujours du satellite, car il n’a pas été détruit après cet accident, mais il ne peut plus transmettre d’images et la réparation est impossible.
22 000 objets en orbite
Le seul et unique satellite équatorien baptisé NEE-01 Pegaso va errer dans l’espace. Pour le remplacer, l’Équateur a déjà programmé le lancement d’un second satellite, il sera envoyé depuis la Russie en août prochain. Cette fois, il sera nommé Kryasor. Une telle collision n’est pas un phénomène rare, car il faut savoir que près de 22 000 objets sont en orbite autour de la Terre, 87% d’entre eux sont des débris ou des satellites inactifs.
Première transmission
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Le seul satellite équatorien heurté par les restes d’une fusée de 1985

Le satellite de l’Équateur baptisé NEE-01 Pegaso a été sérieusement endommagé après une collision avec des débris d’une fusée datant de 1985.
Cette collision est assez problématique puisque le satellite NEE-01 Pegaso n’a pas survécu. Il avait été fabriqué par l’Agence spatiale civile équatorienne et placé en orbite en avril 2013 par une fusée chinoise Longue Marche 2D depuis le Centre spatial de Jiuquan. Ce nanosatellite (1.2 kg) de 10 cm de côté embarquait une caméra visible et infrarouge, il pouvait ainsi prendre des photos et les transmettre en temps réel. Après quelques semaines en orbite, le satellite est rentré en collision avec des débris. Ces derniers provenaient du réservoir de carburant d’une fusée soviétique S14 datant de 1985.
Le satellite ne fonctionne plus
La collision a eu lieu 1500 km au-dessus de l’océan indien. Les débris ont endommagé le satellite équatorien, mais il n’a pas été détruit. Selon Ronnie Nader, le directeur de l’Agence Spatiale, la collision n’a pas été directe, mais les dégâts sont importants puisque le satellite ne fonctionne plus. NEE-01 Pegaso a transmis ses premières images de l’espace il y a quelques jours. Il devrait tout de même rester en orbite et un second satellite va être envoyé courant juillet. Selon les dernières informations, il serait lancé depuis la Russie.
Un lancement fortement médiatisé
Le satellite équatorien avait coûté près de 80 000 dollars et c’était un projet privé. Pourtant, le lancement avait été subventionné par l’État qui avait versé près de 700 000 dollars pour les divers essais. Le montant prenait également en compte la certification de l’appareil, la logistique ainsi que les assurances. Comme il était le premier satellite de l’Équateur, l’évènement avait été massivement relayé dans la presse. Une cérémonie digne de ce nom avait été organisée pour le lancement et le président Rafael Correa y avait assisté.
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Bion-1M : Les escargots et souris envoyés dans l’espace sont de retour

Biosatellite Bion-M1 est une mission russe spécifique. La capsule spatiale qui accueillait des lézards et escargots est de retour.
Cette capsule spatiale russe baptisée Bion-M1 était composée de 20 escargots, 15 lézards, 8 gerbilles de Mongolie, 45 souris et bien d’autres espèces vivantes. Placés dans des compartiments séparés et observés pendant près d’un mois par des caméras, ils avaient été placés en orbite le 19 avril dernier. La capsule a donc voyagé pendant près d’un mois autour de la Terre. L’objectif de cette mission était de savoir si des organismes vivants pouvaient survivre à une telle aventure. Toutes les gerbilles sont décédées, par contre les lézards ont pu surpasser cette épreuve. Un problème technique serait à l’origine du décès de ces petits rongeurs des déserts.
Recherche pour le vol vers Mars
Les autres organismes présents dans la capsule Bion-M1 sont vivants. La capsule a atterri à 1200 km au sud-est de Moscou, dans la région d’Orenbourg. Cette mission a également un second objectif, les scientifiques tentent de trouver des solutions en vu de programmer un vol habité vers Mars. La surveillance d’organismes vivants en orbite autour de la Terre ferait donc partie du long processus pour mettre en place cette mission. Un second voyage de ce type est programmé l’année prochaine selon le responsable des sciences de la vie aux CNES, Guillemette Gauquelin-Koch, qui s’est confiée à l’AFP.
Une chienne n’avait pas survécu
Ce n’est pas la première fois qu’une telle expérience est organisée. Avant les missions humaines de la station Mir et de l’ISS, les Russes avaient envoyé dans l’espace des singes. Ces derniers avaient ainsi permis aux scientifiques de programmer les vols spatiaux humains. La première expérience de ce type date de 1957. À cette époque, une chienne nommée Laïka avait été envoyée avant le premier vol spatial en 1961 de Louri Gagarine. Quelques heures après son séjour dans l’espace, l’animal était décédé. Cette nouvelle mission est donc en partie un succès puisque c’est la première fois que des animaux ont été envoyés aussi longtemps dans l’espace.
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Kepler : Malgré la panne, la Nasa a encore un an de données à étudier

Kepler avait encore beaucoup de travail puisque le chasseur avait découvert très peu d’exoplanètes au vu des 400 milliards estimées par une
Kepler a scruté l’Univers à la recherche d’une seconde Terre. Son objectif était presque atteint il y a quelques semaines lorsqu’il a découvert le système Kepler-69. Le télescope avait tout de même beaucoup de travail à effectuer. Une étude réalisée en janvier 2013 estimait qu’il y avait dans la Voie lactée près de 400 milliards d’exoplanètes. Pour rappel, en février 2012, la Nasa avait expliqué que le télescope avait détecté près de 2740 planètes potentielles. Sa mission n’était donc pas terminée et les scientifiques de l’Agence Spatiale américaine avaient décidé de la prolonger jusqu’en 2016.
Kepler est à la retraite ?
Kepler est pour l’instant à l’arrêt à cause de cette panne de la roue de réaction. Cette situation est très pénalisante puisque des astronautes ne peuvent pas accéder au télescope. Au vu des circonstances, les scientifiques envisagent de mettre un terme à sa mission malgré le potentiel de ce télescope. Il aurait pu détecter de nouvelles exoplanètes. La Nasa pourrait toutefois se diriger vers la réparation de la première roue de réaction défectueuse. En effet, la nouvelle panne serait assez grave et ne devrait pas permettre une réparation. Malgré cet arrêt forcé, les informations sont nombreuses. La Nasa a encore une année de données à étudier.
Kepler cherchait une autre Terre
Kepler a accumulé les recherches et elles n’ont pas toutes été dépouillées par les scientifiques. Ces derniers auront sans doute l’occasion de réaliser de nouvelles découvertes. En janvier 2012, la Nasa a publié les recherches faites jusqu’en 2010. Pour obtenir celles de l’année dernière, il faudra donc encore patienter, Kepler a peut-être détecté une seconde Terre.
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Kepler : La Nasa pourra-t-elle réparer la panne des roues de réaction ?

Kepler devait continuer sa mission jusqu’en 2016, mais une seconde roue de réaction est défectueuse.
Le télescope Kepler est victime d’une panne, elle aurait été anodine si c’était la première. La Nasa avait déjà constaté qu’une roue de réaction était défaillante, cela ne l’avait pas empêché de continuer. L’engin doit posséder trois roues de réaction pour être fonctionnel et garder la même précision dans la recherche. Malheureusement, la Nasa a constaté une panne après le changement de mode d’opération de Kepler. Ce dernier avait mis un terme à sa traque d’exoplanètes en se mettant sur le mode de sécurité. Il n’utilisait donc plus ses roues de réaction, mais les propulseurs.
Kepler est à la retraite
Les roues de réaction installées sur Kepler sont très importantes, car elles permettent d’obtenir une certaine précision. La Nasa a tenté de la réparer, mais les tests ont échoué, car la panne proviendrait du palier à roulement. Si ce problème est confirmé par les scientifiques, la mission de Kepler pourrait se terminer plus tôt que prévu. La Nasa ne peut pas envoyer d’astronautes pour tenter de le réparer. Sans cette seconde roue, le télescope n’a pas la capacité de réaliser des mesures photométriques détaillées. La Nasa a réfléchi à diverses solutions, les deux roues restantes pourraient être couplées à des propulseurs, mais cette hypothèse ne serait pas favorable.
Kepler est un vrai chasseur
Kepler est donc pour l’instant à la retraite et a terminé sa traque d’exoplanètes. L’année 2013 avait pourtant bien commencé au niveau de la recherche puisque le 7 janvier 2013, les scientifiques de la Nasa annonçaient que 461 planètes supplémentaires avaient été découvertes. Il avait pu trouver 2740 planètes potentielles en orbite autour de 2036 étoiles. A ces chiffres, il est nécessaire d’ajouter les récentes découvertes, puisque deux planètes ont été annoncées le 18 avril dernier. Kepler-62e et Kepler-62f se trouvaient dans la zone habitable Kepler-62 qui se situe à 1200 années-lumière du système solaire. Les Super-Terres mesurent 1.6 et 1.4 fois le rayon terrestre.
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Éruptions solaires : Vidéo des 3 plus impressionnantes éjections coronales

Des éruptions solaires assez importantes ont été observées par la Nasa en moins de 24 heures. Ces éjections coronales sont les plus fortes.
Les éruptions solaires référencées depuis 24 heures sont illustrées par des images spectaculaires. Ces éjections coronales pourraient avoir un impact sur la Terre, car l’activité repérée est tout de même assez intense. Le GPS, les satellites peuvent donc être perturbés par de tels phénomènes et cela va se produire pour Epoxi et STEREO-B. Ces deux satellites observent les comètes et les tempêtes solaires, ils devraient donc être perturbés par le nuage de matériaux solaire formé à la suite des trois éruptions solaires. Elles ont tendance à monter en intensité puisque la première (le 13 mai) était de classe X1.7. Quelques heures plus tard, la Nasa a observé une seconde éjection de classe X2.8.
Une intensité très forte
Le 14 mai, une troisième éruption solaire a été repérée et elle était de classe X3.2. L’Agence Spatiale américaine a constaté que l’activité solaire continuait puisqu’une quatrième éjection a été constatée et de classe X1.2. Sur son site Internet, la Nasa explique que le personnel responsable des satellites pouvant être perturbés a été averti. Il pourra si la situation devient plus complexe, effectuer des sauvegardes des instruments. Ces phénomènes sont impressionnants, mais ils ont une explication. Les éjections coronales interviennent au début du nouveau cycle d’activité de notre étoile. Généralement, le Soleil alterne sur une période de 11 ans un cycle d’activité et un cycle calme.
Les éruptions solaires et la Terre
Les éruptions solaires sont impressionnantes, car elles projettent des millions de tonnes de particules. La vitesse de la première était de 4.3 millions de km/h contre 6.9 millions pour la seconde. L’intensité des trois éjections est plus forte que celle du mois d’avril. Elle avait causé il y a quelques semaines des perturbations notamment au niveau des télécommunications. De tels phénomènes pourraient donc avoir des conséquences sérieuses, mais elles n’étaient pas dirigées vers la Terre. Notre planète ne sera donc pas touchée ni perturbée selon la Nasa.
Les éruptions solaires de 2013
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ISS : La star de Twitter, l’astronaute Chris Hadfield est rentré sur Terre

À bord de l’ISS, Chris Hadfield s’était découvert une véritable passion pour la chanson et la communication sur Twitter.
Chris Austin Hadfield s’est retrouvé sur le devant de la scène grâce à deux actualités qui ont touché l’ISS(Station Spatiale internationale). L’astronaute de 53 ans originaire du Canada s’est retrouvé à bord du module russe Soyouz TMA-07M le 19 décembre dernier. Il embarque pour un périple de plusieurs mois à l’intérieur de l’ISS où il obtient le statut de commandant. Il décide de se connecter sur Internet et de partager avec les terriens son actualité. Aujourd’hui, Chris Hadfield possède plus de 920 000 abonnés.
La star de Twitter
Lorsque l’ISS a été touché par la fuite d’ammoniac, il a été le premier à faire part de la réparation sur son compte Twitter. De nombreux internautes regardaient le flux vidéo mis à la disposition par la Nasa, les images retransmettaient la sortie en direct des deux astronautes. Plusieurs heures plus tard, Chris Hadfield écrit sur son compte Twitter qu’il n’y a plus de fuite, la pompe défectueuse avait été réparée. Cela lui a permis d’obtenir davantage de followers qui pouvaient suivre l’avancée des réparations. Après plus de 5 mois à bord de l’ISS, Chris Hadfield est revenu sur la Terre et c’est son fils Evan Hadfield qui a commenté en direct l’arrivée de son père sur la terre ferme.
Il quitte l’ISS
L’arrivée de Chris Hadfield a donc été suivie par des milliers d’internautes. Il a également obtenu une certaine notoriété en enregistrant divers titres depuis l’ISS. Le 12 mai dernier, le commandant a été contraint de passer les commandes de la station. À cette occasion, il a diffusé une vidéo qui a fait le tour du web en l’espace de quelques heures. En reprenant Space Oddity de David Bowie, l’astronaute est devenu une véritable star puisque ses 88 vidéos ont obtenu près de 23 millions de vues. Grâce à Internet, Chris Hadfield est le spationaute le plus célèbre après Neil Armstrong.
Chris Hadfield – Space Oddity
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ISS : Une fuite d’ammoniac causée par une météorite ou un débris ?

L’ISS a été touchée par une fuite d’ammoniac très grave et elle aurait été causée par une météorite ou un débris.
Ce n’est pas la première fois que l’ISS est victime d’une fuite d’ammoniac, mais les dégâts étaient plus importants. Lors d’une journée, près de deux kilogrammes se sont échappés de la pompe défectueuse. Les 6 membres de l’équipage devaient réagir au plus vite, car le liquide de refroidissement est essentiel pour le bon fonctionnement de la station. Avec la Nasa, les astronautes ont donc mis en place une stratégie visant à réparer la fuite. La fuite a été soudaine, l’équipage a constaté que de petits flocons blancs s’évaporaient à proximité d’une structure de l’ISS. Avec diverses images, ils ont conclu qu’une fuite d’ammoniac était présente.
Une sortie urgente, mais risquée
La tâche n’avait donc pas été préparée et comportait un certain nombre de risques. À 14h44 (heure de Paris), les astronautes Chris Cassidy et Tom Marshburn se sont lancés dans une réparation urgente qui a tout de même duré plus de 5 heures. Ils ont donc changé une pompe de 120 kilogrammes. Celle qui était défectueuse et les premières analyses ne permettent pas de définir avec précision les origines du problème. Un dysfonctionnement du matériel ne serait pas exclu, mais les scientifiques auraient tendance à privilégier la thèse d’un impact avec une météorite ou un débris orbital. Cela expliquerait également la soudaineté de la fuite d’ammoniac.
L’ISS est opérationnelle
L’opération a été rapide et s’est soldée sur un succès puisque l’ISS fonctionne parfaitement et les astronautes n’ont constaté aucune fuite. Cette péripétie n’empêchera pas le retour sur Terre de trois des membres de l’équipage. Chris Hadfield, Tom Marshburn et Roman Romanenko ont repris le chemin de notre planète. Chris Hadfield a été le premier à communiquer sur la réparation de la fuite d’ammoniac. Très actif sur Internet, il a d’ailleurs posté sur YouTube une reprise de Space Oddity de David Bowie. Vous pouvez également découvrir les images de la réparation de la fuite d’ammoniac.
Deux astronautes réparent la fuite
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L’astronaute Chris Hadfield enregistre une version de Space Oddity dans l’espace

C'est un bel hommage à David Bowie qu'a rendu Chris Hadfield : l'astronaute a enregistré une version de Space Oddity depuis l'ISS.
David Bowie et l’espace, c’est une longue histoire d’amour. Le chanteur anglais a souvent été inspiré par l’exploration spatiale et l’univers. Son album The Rise and Fall of Ziggy Stardust and The Spiders from Mars s’en inspire largement. David Bowie a également composé deux tubes qui nous font voyager dans l’espace Life on Mars et Space Oddity
Space Oddity : un astronaute à la dérive
La chanson Space Oddity est sortie en 1969, l’année même où Neil Armstrong a posé le pied sur la Lune. Le titre raconte l’histoire fictive de Major Tom, un astronaute qui part en mission. Mais il rencontre un problème et son vaisseau part à la dérive dans l’espace. L’astronaute se résigne peu à peu à son sort “tell my wife I love her very much” (dites à ma femme que je l’aime) avant que Ground Control ne perde contact “can you here me Major Tom?”
Chris Hadfield chante Bowie dans l’espace
Cette fois-ci, c’est David Bowie qui a inspiré un astronaute. L’astronaute Chris Hadfield a décidé d’interpréterSpace Oddity depuis l’ISS. Dans un clip très émouvant, il chante sa version en tout simplicité pour fêter son départ de la Station Spatiale Internationale après un séjour de 5 mois. L’astronaute canadien doit rentrer sur Terre ce lundi.
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ISS : La fuite d’ammoniac a été réparée en urgence

L’ISS est au centre des attentions de la Nasa, les astronautes ont réparé la fuite d’ammoniac. La nouvelle pompe fonctionne.
L’ISS (Station Spatiale Internationale) rencontrait un problème assez grave puisqu’une fuite d’ammoniac avait été repérée. Les astronautes présents ont été contraints d’organiser dans un temps record une sortie. Cet évènement est une véritable source de stress, car une sortie de l’ISS n’est pas sans risque. L’organisation est également difficile puisqu’ils doivent évoluer avec les scaphandres qui pèsent près de 100 kg. Grâce au flux vidéo proposé par Nasa, les internautes pouvaient suivre en direct les investigations. Chris Cassidy et Tom Marshburn se trouvaient donc à l’extérieur de l’ISS pour tenter de colmater la fuite.
Un vrai périple
Il est difficile de se rendre compte de l’ampleur de cet exercice, mais après une sortie de l’ISS, les astronautes souffrent d’ampoules et ils ont les bras couverts de bleus. Selon M Soloviev, c’est comme s’ils rentraient d’une bonne bataille. Les deux astronautes sont donc sortis en urgence puisque le devenir de l’ISS était menacé. La Nasa était tout de même inquiète et stressée, car le délai entre le repérage de la fuite d’ammoniac et la sortie de l’ISS était court et peut être même trop court. Les deux astronautes sélectionnés sont tout de même expérimentés. L’Agence Spatiale américaine a reconnu que la fuite était préoccupante, mais elle ne mettait pas en danger les six astronautes.
La pompe a été remplacée
Selon les dernières informations transmises par la Nasa, les deux astronautes ont réussi à combler la fuite en changeant la pompe. Sur son compte Twitter, le commandant de l’ISS a donc indiqué « Pas de fuite ! Nous ramenons Tom et Chris à l’intérieur ». La mission de réparation devait durer près de 6 heures, trois heures après le début des investigations, les astronautes réussissaient à réparer la fuite. Le périple pour les deux hommes n’est pas terminé puisqu’ils doivent attendre que la combinaison ne contienne plus de traces d’ammoniac et ils doivent être décontaminés.
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Eclipse solaire : Vidéo de l’anneau de feu repéré en Australie

Cette éclipse annulaire était la première de l’année 2013 et il fallait être en Australie pour avoir la chance d’admirer le spectacle.
L’Australie a été plongée dans une légère obscurité ce vendredi 10 mai lors du passage de la Lune devant le soleil. Cette éclipse n’était pas totale puisque les spectateurs ont pu voir un anneau de lumière. Ce dernier s’explique par la distance entre le Soleil et la Lune. Lorsque cette dernière est très proche de notre étoile, le ciel s’obscurcit pendant quelques minutes. Pour voir cette éclipse totale, il faut se placer dans le même axe. Le Soleil ce vendredi 10 mai n’était pas entièrement recouvert, la Lune était donc assez éloignée et ne pouvait pas le masquer complètement.
Un anneau de feu
Des centaines de personnes avaient rendez-vous en Australie pour contempler le premier spectacle de 2013. La vue était sublime puisque le ciel était légèrement nuageux, avec les reflets à la surface de l’eau, les spectateurs ont pu assister un véritable show entre la Lune et le Soleil. Des vidéos ont été réalisées par des amateurs et illustrent ainsi le phénomène. L’éclipse annulaire a duré au maximum 6 minutes et, au minimum 3 minutes, le délai dépendait de l’emplacement des personnes.
La prochaine éclipse totale
Ceux qui n’ont pas eu l’occasion d’assister à cette éclipse pourront contempler celle du 3 novembre 2013. Il faudra être cette fois en Amérique du Nord, en Afrique, ou dans le Sud de l’Europe pour voir l’éclipse totale. L’astronome de l’observatoire de Sidney estime que le prochain phénomène sera bien plus spectaculaire puisque la Lune recouvrira entièrement le disque du Soleil. La zone sera donc plongée dans le noir pendant quelques minutes.
Eclipse annulaire
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Mars : Buzz Aldrin encourage la Nasa, les USA coloniseront cette planète

Mars colonisée par les États-Unis ? Buzz Aldrin encourage cette pratique et a fait part de son avis lors de la conférence de la Nasa.
Mars est très prisée et s’est retrouvée au cœur de la conférence de presse de la Nasa. Buzz Aldrin dont l’ouvrage s’intitule « Mission to Mars, My vision for Space Exploration » a fait part de son avis sur ce voyage. La collaboration de Buzz Aldrin est importante pour l’Agence Spatiale américaine. Pour rappel, cet astronaute de 83 ans était le pilote du module lunaire Apollo 11. Cette mission a été la première à se poser sur la Lune le 21 juillet 1969. Il est donc le deuxième homme à avoir foulé le sol lunaire après Neil Armstrong. Son expérience serait donc essentielle pour la programmation du voyage vers Mars.
Mars doit être colonisée
Les États-Unis et la Nasa réfléchissent à une solution pour investir la planète rouge. Cette mission est primordiale pour Buzz Aldrin, qui estime que la colonisation de Mars est à la portée des humains, elle doit donc être mise en place dès aujourd’hui. Le président Barack Obama aimerait que les premiers humains se posent sur cette planète dans les années 2030. Pendant 20 ans, la Nasa et le secteur privé doivent concrétiser ce projet en étudiant tous les risques qu’ils soient techniques ou humains. Buzz Aldrin n’est pas du même avis que l’administrateur de la Nasa, l’astronaute de 83 ans estime que la technologie d’aujourd’hui permet un voyage vers Mars.
La mission vers Mars est possible
Contrairement à Charles Bolden, il estime que cette mission demande très peu de nouvelles recherches. Les USA traversent une période de crise budgétaire, mais l’astronaute pense que les moyens financiers sont suffisants et permettraient aux humains de dépasser le voyage de la Lune. Avec cette nouvelle mission, les USA conforteraient leur domination dans le domaine du transport spatial selon Buzz Aldrin. Ce dernier encourage la Nasa à envoyer pendant trois jours des Hommes sur la Lune pour qu’ils puissent superviser le déploiement de la mission vers Mars. Une base pourrait ainsi être construite par plusieurs agences spatiales comme celle de l’Europe, l’Inde, le Japon, la Russie et la Chine.
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Fusée Vega : Vidéo du décollage effectué depuis le centre de Kourou

La fusée Vega a relevé le défi lancé par l’ESA puisque la mission était assez complexe. Trois satellites ont été placés en orbite.
La fusée Vega a décollé comme le montre la vidéo du centre de Kourou en début de semaine. Après deux heures de vol, l’ESA (Agence Spatiale européenne) a concrétisé son projet qui s’avérait assez complexe. Trois satellites ont été positionnés avec des inclinaisons et des altitudes différentes. L’ESA avait donc choisi une orbite héliosynchrone pour Proba-V (820 km d’altitude, inclinaison 98.73°), VNREDSat-1 (665 km d’altitude, inclinaison 98.1°) et ESTCube-1 (600/800 km). Lors du décollage de la fusée Vega, cinq allumages ont été nécessaires, quatre pour la séparation des satellites et un autre pour la désorbitation d’un étage.
Un agenda chargé
Avec ce lancement, l’ESA a l’intention de concurrencer la Russie avec de petits satellites placés en orbite. La mission a donc été une réelle réussite et la suite des évènements devrait être en faveur de ce lanceur. En février 2012, un vol inaugural avait été organisé, mais depuis les experts ont apporté quelques modifications. La fusée Vega a un calendrier assez chargé puisque l’ESA veut démontrer sa polyvalence, plusieurs missions différentes seront donc programmées au cours de l’année. C’est également l’une des premières fusées à prendre en compte l’encombrement orbital. Le dernier étage ne devient donc pas un débris lorsque les satellites sont positionnés.
Objectifs des 3 satellites
La fusée Vega comportait les trois satellites, dont ESTCube-1. Il doit tester le principe de la technologie « Voile solaire électrique ». VNREDSat-1 va observer la Terre et notamment le changement climatique. Les experts espèrent que les observations leur permettront de prédire les catastrophes naturelles. Enfin, Proba-V prendra le relais de l’instrument Végétation, il va donc surveiller la croissance mondiale de la végétation.
Lancement de la fusée Vega
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Le Télescope Herschel prend sa retraite

Le téléscope Herschel a été lancé en 2009 par l'ESA. Il est arrivé au bout de ses réserves de carburants.
La fin de mission du téléscope Herschel avait été annoncée en début de semaine par l’agence spatiale européenne (ESA). Le mercredi 1er mai, le téléscope a épuisé ses réserves d’hélium liquide.
Avec son miroir de 3,5 mètres de diamètre, Herschel est le plus grand téléscope infrarouge jamais envoyé dans l’espace.
Après 4 ans de bons et loyaux services, Herschel prend donc sa retraite. Göran Pilbratt, le responsable scientifique de projet tire un bilan plutôt positif : le téléscope “Herschel nous a offert une vision totalement nouvelle de l’Univers, en nous montrant des aspects qui nous étaient cachés jusqu’à présent, comme des processus encore jamais vus de naissance d’étoiles et de formation de galaxies”.
L’ESA a encore beaucoup de données de Herschel à analyser
Les données du téléscope ont, entre autres, permis de renseigner l’ESA sur l’astéroïde Apophis qui frôlera la Terre en 2029 et en 2036. Mais l’arrêt du téléscope ne signifie pas la fin du travail pour les scientifiques : “La fin des observations de Herschel ne signifie en aucune façon la fin de la mission : il nous reste de nombreuses découvertes à faire”, explique Göran Pilbratt.
L’hélium permettait au téléscope de refroidir ses instruments d’observation à un niveau proche du zéro absolu (-273,15°C). Herschel ne peut donc plus effectuer son travail d’analyse de l’espace, mais il peut toujours communiquer avec l’ESA. Le téléscope sera placé dans le courant du mois de mai en orbite héliocentrique (autour du soleil).
Le téléscope Herschel en quelques chiffres
Le téléscope spatial Herschel aura permis de grandes avancées aux scientifiques de l’ESA. Voici son parcours en quelques chiffres :
- date de lancement : 14 mai 2009
- poids : 3,3 tonnes
- diamètre du miroir : 3,5 mètres
- 25 000 d’enregistrement
- 35 000 observations
- 600 programmes scientifiques
- 2 300 litres d’hélium liquide
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Nasa : 3 Nexus One transformés en PhoneSat dans l’espace

La Nasa a transformé trois Nexus One en PhoneSat, ils ont donc été envoyés dans l’espace et deviendront les satellites les moins chers.
La Nasa a ouvert un site Internet dédié à cet évènement. PhoneSat.org retranscrit toutes les données recueillies et il est possible de suivre en temps réel les trois Smartphones Nexus One fabriqués par HTC. Dans un communiqué, l’Agence Spatiale américaine fait part de ses intentions, elle souhaite transformer ces mobiles en satellites low cost. La Nasa a donc le souhait de tester les capacités de ces appareils pour savoir s’ils peuvent devenir de vrais satellites. Ils ont embarqué la semaine dernière dans la fameuse fusée d’Orbital Sciences qui réalisait son vol d’inauguration. Les trois PhoneSat ont été placés en orbite et cette première étape s’est parfaitement déroulée.
Une mission de 2 semaines
Un téléphone utilisé dans notre quotidien peut-il se transformer en satellite ? C’est à cette question que la Nasa tente de répondre avec le projet PhoneSat. La mission devrait durer seulement deux semaines et toutes les données se retrouveront sur le site de la Nasa ou celui dédié à cet évènement. Pour les besoins de cette recherche, les Nexus One ont subi quelques modifications notamment au niveau de la batterie et de l’émetteur radio. Les mobiles sont plus performants et devraient être capables de transmettre des informations depuis l’espace. La Nasa a également désactivé certaines fonctions, les Nexus One ne peuvent pas recevoir ni émettre un appel.
Traitement des informations
La Nasa a déjà reçu des informations en provenance de ces PhoneSat. Elles seront transmises prochainement, car les données nécessitent un certain traitement pour obtenir par exemple une image complète de la planète Terre. La Nasa invite également les radio amateurs à capter les signaux de ces PhoneSat. Il faudra donc attendre environ deux semaines pour savoir si des Nexus One peuvent devenir des satellites utiles et fonctionnels.
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Espace : L’ESA veut se débarrasser des 6500 tonnes de déchets

L’espace n’est pas très propre. Une conférence sur les risques liés aux déchets a donc été organisée par l’ESA.
Du 22 au 25 avril, les spécialistes de l’espace se réunissent dans le cadre de la sixième conférence européenne sur les débris spatiaux. Des scientifiques, des ingénieurs, des opérateurs spatiaux, des industriels ou encore des universitaires seront au rendez-vous. Tous ces acteurs sont invités à discuter des nouvelles technologies pour tenter de trouver une solution concernant le nettoyage de l’espace. Des méthodes doivent être envisagées pour prévenir les risques liés à ces débris qui sont de plus en plus menaçants. L’ESA (Agence Spatiale européenne) voudrait donc capturer les divers déchets et les ramener sur la planète Terre.
Récupérer régulièrement des débris
L’espace a vécu près de 4900 lancements depuis le début de l’ère spatiale. Ces nombreuses missions ont donc contribué à la pollution de l’espace. Des collisions, près d’une dizaine par jour ainsi que plus de 240 explosions ont été observées et ont entraîné des déchets. En 2012, l’Europe et les États-Unis ont évalué le risque. Un débris d’un centimètre lancé à une vitesse de 50 000 km/h pourrait créer une énergie cinétique semblable à celle de l’explosion d’une grenade. Le directeur du bureau des débris spatiaux à l’ESA, Heiner Klinkrad estime qu’il y a une seule solution qui consiste à « aller régulièrement dans l’espace au niveau de l’orbite pour y rapatrier entre et dix objets massifs par an ».
Des millions d’objets
L’espace contiendrait donc 6500 tonnes de déchets. Les chiffres plus précis mettent en avant près de 170 millions d’objets mesurant un millimètre, 670 000 mesurent de 1 à 10 centimètres. Les scientifiques estiment qu’il y a au moins 29 000 déchets de plus de dix centimètres. Le nombre de débris ne cesse d’augmenter et cela pourrait avoir des conséquences désastreuses. Selon Heiner Klinkrad, des régions orbitales pourraient être inutilisables à long terme si des collisions de débris se produisent en cascade. L’ESA doit donc évaluer les coûts et les capacités techniques nécessaires, mais il faut également résoudre les questions concernant le droit international et de propriété de ces débris.
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Fusée Antares d’Orbital Sciences : Vidéo du vol d’essai du ravitailleur

La fusée Antares d’Orbital Sciences a connu un retard à cause d’un problème technique. Le lancement de ce ravitailleur a réussi.
La fusée Antares d’Orbital Sciences devait faire ses preuves lors de ce vol d’essai. Elle a réalisé la première étape du programme qui consistera à terme à ravitailler l’ISS en fret. La Nasa et Orbital Sciences ont un contrat de 1.9 milliard de dollars. La fusée devra livrer d’ici 2016 près de 20 tonnes de fret. Dimanche à 22h (heure GMT), la fusée se trouvait dans le centre spatial de Wallops installé à proximité de la côte est des États-Unis. À son bord, elle embarquait une charge de 3.8 tonnes pour reproduire les conditions réelles de vol.
Ravitailler l’ISS en fret
La fusée Antares d’Orbital Sciences transportera la capsule Cygnus qui se démarque de celle baptisée Dragon. La première ne peut pas revenir sur la planète, elle est donc détruite lorsqu’elle retombe dans l’atmosphère. La capsule peut être utilisée comme plateforme, elle est dans ce cas de figure placée en orbite pendant un délai d’un an. Le lancement a donc réussi et il a fallu 18 minutes pour atteindre 256 km d’altitude. Après cette première étape, Orbital Sciences programmera la seconde qui consiste à placer en orbite la capsule Cygnus.
La mission complète
La Nasa fait donc appel à deux partenaires privés pour son exploration spatiale. Cette dernière est au cœur de la stratégie de Barack Obama selon John Holdren (Conseiller du Président), car il souhaite « garantir le leadership des États-Unis dans l’exploration spatiale ». Charles Bolden (administrateur de la Nasa) a félicité Orbital Sciences, car le lancement était parfait. Le groupe se prépare désormais « à effectuer une mission complète de démonstration du système de livraison de fret à l’ISS dans seulement deux mois ».
Le vol d’essai
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Kepler traque les planètes et pourrait detecter une seconde Terre

Kepler a découvert trois nouvelles exoplanètes qui se rapprochent de la Terre. Le télescope continue de traquer les planètes.
Kepler a trouvé deux systèmes planétaires (Kepler 62 et Kepler 69) très prometteurs et la Nasa est persuadée que c’est une question de temps. Les scientifiques sont convaincus qu’ils pourront grâce au télescope répondre à cette question, existe-t-il une seconde Terre ? Les auteurs de cette mission estiment qu’ils découvriront prochainement une planète semblable à la nôtre ou seront en mesure d’indiquer si la Terre est unique. Kepler a pu détecter une période orbitale de 242 jours pour Kepler 69c. Kepler 62f met 267 jours pour faire le tour de son étoile.
Un autre Soleil ?
Les scientifiques de la mission estiment qu’il faut d’abord chercher des étoiles qui se rapprochent de notre Soleil. Dans le système planétaire Kepler 69, l’étoile est de la même classe que la nôtre (G) et se situe à 2700 années-lumière de la Terre dans la constellation du Cygne. Elle est un peu plus petite et offre une luminosité légèrement inférieure. Le télescope a découvert que Kepler 69a était une super terre qui se rapprochait de notre planète. La composition est encore inconnue, mais elles seraient rocheuses. Leur taille permettrait aux scientifiques d’évincer la piste des planètes gazeuses.
De la vie ?
L’atmosphère sera très complexe à étudier, car les exoplanètes sont petites. Des radiotélescopes pourraient être utilisés, car celles découvertes par Kepler sont prometteuses. La vie aurait donc pu se développer au sein du système Kepler 62. Cette étoile est née il y a 7 milliards d’années, soit deux milliards d’années avant notre Soleil. Pour les scientifiques, Kepler 62e et Kepler 62f “sont les meilleures candidates pour être habitables“.
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Matière noire : L’expérience AMS détecte un surplus d’antimatière

La matière noire fait l’objet d’une analyse. L’expérience AMS à bord de l’ISS aurait détecté un excès d’origine inconnue.
La matière noire est au centre des attentions des scientifiques. La nature exacte est encore assez mystérieuse, mais elle formerait près d’un quart de l’Univers. Cette énigme est l’une des plus importantes de la physique moderne. Cette observation pourrait enfin aboutir à une donnée concrète. 25 milliards de particules ont été détectées lors des 18 premiers mois de cette étude. L’expérience AMS (Spectromètre Magnétique Alpha) a pu mesurer un excès d’antimatière qui est pour l’instant d’origine inconnue. Cette observation repose sur l’étude des rayons cosmiques, les particules sont donc détectées par l’expérience AMS qui se trouve à bord de l’ISS (Station Spatiale Internationale).
Un excès d’antimatière
Notre planète est constamment bombardée par des rayons cosmiques. Les particules d’antimatière se nomment positons et ils ont quelques similitudes avec les électrons. Il faut tout de même savoir qu’ils ont une charge opposée. Grâce à ces observations, les scientifiques sont en mesure d’indiquer qu’il y a un surplus de positions. Ce n’est pas la première fois qu’un tel excès est observé puisque le satellite Pamela en 2008 ainsi que Fermi avaient déjà fait cette constatation. L’expérience AMS a donc eu l’opportunité de confirmer avec une réelle précision les précédentes données. Dans la revue Physical Review Letters, il est possible de découvrir les résultats de cette étude. Le Cern explique également dans un communiqué que cette particule d’antimatière pourrait « provenir de la destruction de particules de matière noire entrant en collision entre elles dans l’espace ».
Des résultats approfondis
L’énigme de la matière noire n’est toutefois pas encore résolue. Les observations effectuées avec l’expérience AMS ne sont pas suffisantes. Le Cern explique qu’il est nécessaire d’approfondir ces résultats notamment pour évincer d’autres explications comme une étoile à neutron (un pulsar). Cette énigme de la matière noire (23%) a vu le jour il y a 80 ans et l’Univers est également composé d’énergie sombre (72%) et 5% de matière visible.
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Kepler: la Nasa a détecté les plus petites planètes dans une zone habitable

Kepler continue sa traque et a découvert 2 systèmes planétaires. Parmi les planètes découvertes, trois sont susceptibles d’abriter la vie.
Kepler 62 et Kepler 69 sont observés avec attention par la Nasa, car certaines exoplanètes pourraient abriter la vie. Les conditions seraient favorables et de l’eau à l’état liquide pourrait être observée. Dans le système planétaire baptisé Kepler 62, la Nasa a découvert que les planètes étaient les plus petites dans une zone habitable. Kepler 62f est la plus proche de la taille de Terre, car elle est seulement 40% plus grande. Kepler 62e est 60% plus grande que notre planète et Kepler 69c 70% plus importante. Cette dernière a également une orbite de 242 jours autour de son étoile. Les scientifiques estiment que c’est une question de temps, ils trouveront sans doute une deuxième Terre dans les prochaines années.
Kepler traque les planètes
Le télescope Kepler mesure la luminosité de près de 150 000 étoiles. La première exoplanète découverte se nomme 62e, elle orbite en 122 jours autour de son étoile. Eric Agol, qui est un professeur à l’université de Washington, a détecté un peu plus tard Kepler 62f, qui possède une période orbitale de 267 jours. Selon la Nasa, le télescope Kepler a fait de nombreux progrès et permettra aux scientifiques de savoir si la Terre a une sœur jumelle ou si elle est unique. Les trois exoplanètes peuvent donc abriter la vie, mais ce n’est pas le cas de Kepler 62b, 62c et 62d.
Un autre Soleil
Selon la Nasa, leur période orbitale est respectivement de 5, 12 et 18 jours. La vie telle que nous la connaissons ne peut donc pas être détectée, car les températures sont beaucoup trop élevées. Dans le système planétaire Kepler 69, l’étoile est de la même classe que celle de notre Soleil. Les scientifiques estiment qu’ils auront plus de chances de trouver une deuxième Terre dans une zone où l’étoile ressemble à notre Soleil. Le télescope Kepler continue de traquer les planètes pour tenter de trouver peut-être une autre Terre.
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